Nos communautés font face à de nombreux enjeux qui touchent la santé, le bien-être et les contributions de nos voisins : n’y soyons #JAMAISINDIFFÉRENTS!
Quand nous considérons seuls ces enjeux difficiles, cela peut nous bouleverser et nous donner envie de fermer les yeux. Mais quand nous travaillons ensemble, nous pouvons provoquer le changement et trouver des solutions.
renseignez-vous sur certains des enjeux auxquels nous sommes confrontés et poursuivez votre lecture pour savoir comment faire votre part pour changer les choses dans votre communauté du centre du Nouveau-Brunswick.
la négligence, la violence physique ou psychologique et les conflits destructeurs n’en sont que quelques exemples. Ce que toutes les instances de violence familiale ont en commun cependant, c’est que leurs victimes se retrouvent avec des cicatrices psychologiques et physiques.
Parmi les provinces de l’Atlantique, c’est le Nouveau-Brunswick qui enregistre le taux le plus élevé de violence familiale déclarée par la police. Par contre, le taux est probablement encore beaucoup plus élevé, car les victimes de violence familiale ne le signalent pas toutes à la police.
Comparativement au reste des provinces canadiennes, le Nouveau-Brunswick affiche également le taux le plus élevé de meurtres-suicides de nature familiale. Cela indique que la violence familiale est non seulement courante au Nouveau-Brunswick, mais qu’elle peut aussi prendre la forme d’une violence physique extrême.
La violence familiale n’est pas toujours aussi simple à repérer que le dommage physique. Le dommage psychologique peut aussi avoir des effets néfastes durables. Si aucune mesure n’est prise pour les aider, les victimes de violence familiale peuvent finir par répéter le mal qui leur a été fait et perpétuer le cycle de la violence.
Lorsque nous unissons nos forces communautaires pour venir en aide aux victimes de violence familiale, nous faisons plus que simplement les aider à se soustraire à une situation dangereuse. Ce soutien efficace assure que ces personnes acquièrent les aptitudes nécessaires à l’établissement de relations saines, ce qui leur permet ensuite de développer les outils requis pour briser le cycle de la violence.
En collaborant à l’échelle communautaire, nous pouvons nous attaquer aux causes profondes de la violence familiale et opérer un changement positif dans le centre du Nouveau-Brunswick.
Centraide croit que chacun mérite de se sentir en sécurité chez soi et dans ses relations intimes. Quand les gens se sentent menacés, ils ne peuvent pas profiter de la vie, et la situation peut engendrer des traumatismes durables susceptibles d’influencer leur vie plus tard. En brisant le cycle de la violence, nous pouvons assurer que chaque personne reçoit l’affection et la compassion dont elle a besoin dans le cadre de relations qui sont à l’abri de tout danger.
Centraide appuie les programmes, les services et les initiatives qui procurent un refuge d’urgence, un refuge pour jeunes, du counseling et des services de proximité pour les victimes de violence familiale.
En 2019, les donateurs de Centraide ont aidé 10 882 personnes touchées par la violence familiale.
Avec votre aide, nous pouvons faire en sorte que face à la violence familiale, nous ne soyons #JAMAISINDIFFÉRENTS.
Parmi les provinces de l’Atlantique, c’est le Nouveau-Brunswick qui enregistre le taux le plus élevé de violence familiale déclarée par la police. Par contre, le taux est probablement encore beaucoup plus élevé, car les victimes de violence familiale ne le signalent pas toutes à la police.
Comparativement au reste des provinces canadiennes, le Nouveau-Brunswick affiche également le taux le plus élevé de meurtres-suicides de nature familiale. Cela indique que la violence familiale est non seulement courante au Nouveau-Brunswick, mais qu’elle peut aussi prendre la forme d’une violence physique extrême.
La violence familiale n’est pas toujours aussi simple à repérer que le dommage physique. Le dommage psychologique peut aussi avoir des effets néfastes durables. Si aucune mesure n’est prise pour les aider, les victimes de violence familiale peuvent finir par répéter le mal qui leur a été fait et perpétuer le cycle de la violence.
Lorsque nous unissons nos forces communautaires pour venir en aide aux victimes de violence familiale, nous faisons plus que simplement les aider à se soustraire à une situation dangereuse. Ce soutien efficace assure que ces personnes acquièrent les aptitudes nécessaires à l’établissement de relations saines, ce qui leur permet ensuite de développer les outils requis pour briser le cycle de la violence.
En collaborant à l’échelle communautaire, nous pouvons nous attaquer aux causes profondes de la violence familiale et opérer un changement positif dans le centre du Nouveau-Brunswick.
Centraide croit que chacun mérite de se sentir en sécurité chez soi et dans ses relations intimes. Quand les gens se sentent menacés, ils ne peuvent pas profiter de la vie, et la situation peut engendrer des traumatismes durables susceptibles d’influencer leur vie plus tard. En brisant le cycle de la violence, nous pouvons assurer que chaque personne reçoit l’affection et la compassion dont elle a besoin dans le cadre de relations qui sont à l’abri de tout danger.
Centraide appuie les programmes, les services et les initiatives qui procurent un refuge d’urgence, un refuge pour jeunes, du counseling et des services de proximité pour les victimes de violence familiale.
En 2019, les donateurs de Centraide ont aidé 10 882 personnes touchées par la violence familiale.
Avec votre aide, nous pouvons faire en sorte que face à la violence familiale, nous ne soyons #JAMAISINDIFFÉRENTS.
Les personnes prises dans ce cycle sont portées à avoir une espérance de vie réduite, ont moins tendance à terminer leurs études secondaires et sont plus susceptibles d’être victimes de violence et d’exploitation.
On estime qu’au moins 235 000 personnes vivent en situation d’itinérance au Canada chaque année – et qu’environ 820 d’entre elles se trouvent à Fredericton.
L’été dernier à Fredericton, 126 personnes ont eu recours à un refuge d’urgence et 79 personnes dormaient dehors.
Selon notre sondage, 65 % des personnes en situation d’itinérance à Fredericton auraient été prises au piège dans ce cycle pendant six mois ou plus. Des études antérieures indiquent que la durée moyenne de l’itinérance est de 34,8 mois.
Grâce aux efforts concertés menés dans notre communauté d’avril 2019 à juin 2020, plus de 70 personnes ne sont plus aux prises avec l’itinérance à long terme.
Mettre fin au cycle de l’itinérance ne fait pas que sauver des vies : cela coûte moins cher que le statu quo (c.-à-d. les services d’urgence). Il a été démontré que fournir un logement et des mécanismes de soutien (Logement d’abord) permet d’économiser de 20 000 $ à 30 000 $ par personne par année comparativement aux méthodes traditionnelles (refuge temporaire, hôpitaux, surveillance policière et services d’urgence).
En collaborant à l’échelle communautaire, nous pouvons nous attaquer aux causes profondes de l’itinérance et opérer un changement positif dans le centre du Nouveau-Brunswick.
Centraide croit que chacun mérite de pouvoir combler ses besoins de base, ce qui passe notamment par un logement adéquat, approprié et finalement permanent. Sans pied-à-terre, il est quasi impossible de trouver un emploi, de poursuivre des études ou d’accomplir des activités quotidiennes. Avoir un chez-soi fournit aux gens la sécurité et la confiance nécessaires pour se remettre sur pied et réintégrer leur communauté avec dignité.
Centraide appuie les programmes, les services et les initiatives qui procurent un refuge d’urgence, un refuge pour jeunes, du counseling et des services de proximité pour les personnes aux prises avec des problèmes de santé mentale ou de dépendance, ainsi qu’un hébergement de transition pour les personnes qui sont prêtes à franchir la prochaine étape pour accéder à un logement permanent.
Les donateurs de Centraide ont aidé des personnes qui se sont retrouvées dans la rue. Grâce aux initiatives menées par les organismes subventionnés par Centraide, ces personnes ont eu accès à des services de soutien et à un endroit sûr où habiter.
Avec votre aide, nous pouvons faire en sorte que face aux problèmes de santé l’itinérance, nous ne soyons #JAMAISINDIFFÉRENTS.
On estime qu’au moins 235 000 personnes vivent en situation d’itinérance au Canada chaque année – et qu’environ 820 d’entre elles se trouvent à Fredericton.
L’été dernier à Fredericton, 126 personnes ont eu recours à un refuge d’urgence et 79 personnes dormaient dehors.
Selon notre sondage, 65 % des personnes en situation d’itinérance à Fredericton auraient été prises au piège dans ce cycle pendant six mois ou plus. Des études antérieures indiquent que la durée moyenne de l’itinérance est de 34,8 mois.
Grâce aux efforts concertés menés dans notre communauté d’avril 2019 à juin 2020, plus de 70 personnes ne sont plus aux prises avec l’itinérance à long terme.
Mettre fin au cycle de l’itinérance ne fait pas que sauver des vies : cela coûte moins cher que le statu quo (c.-à-d. les services d’urgence). Il a été démontré que fournir un logement et des mécanismes de soutien (Logement d’abord) permet d’économiser de 20 000 $ à 30 000 $ par personne par année comparativement aux méthodes traditionnelles (refuge temporaire, hôpitaux, surveillance policière et services d’urgence).
En collaborant à l’échelle communautaire, nous pouvons nous attaquer aux causes profondes de l’itinérance et opérer un changement positif dans le centre du Nouveau-Brunswick.
Centraide croit que chacun mérite de pouvoir combler ses besoins de base, ce qui passe notamment par un logement adéquat, approprié et finalement permanent. Sans pied-à-terre, il est quasi impossible de trouver un emploi, de poursuivre des études ou d’accomplir des activités quotidiennes. Avoir un chez-soi fournit aux gens la sécurité et la confiance nécessaires pour se remettre sur pied et réintégrer leur communauté avec dignité.
Centraide appuie les programmes, les services et les initiatives qui procurent un refuge d’urgence, un refuge pour jeunes, du counseling et des services de proximité pour les personnes aux prises avec des problèmes de santé mentale ou de dépendance, ainsi qu’un hébergement de transition pour les personnes qui sont prêtes à franchir la prochaine étape pour accéder à un logement permanent.
Les donateurs de Centraide ont aidé des personnes qui se sont retrouvées dans la rue. Grâce aux initiatives menées par les organismes subventionnés par Centraide, ces personnes ont eu accès à des services de soutien et à un endroit sûr où habiter.
Avec votre aide, nous pouvons faire en sorte que face aux problèmes de santé l’itinérance, nous ne soyons #JAMAISINDIFFÉRENTS.
Si rien n’est fait pour les traiter, ils peuvent créer des difficultés sur le plan des relations, de la vie professionnelle et de la santé physique.
Selon Statistique Canada, en 2018, 10,3 % des Néo-Brunswickois âgés de 18 à 34 ans et 9,7 % des Néo-Brunswickois âgés de 50 à 64 ans ont déclaré avoir une santé mentale passable ou mauvaise.
Au Nouveau-Brunswick, la moitié des jeunes de la 6e à la 12e année ont montré des symptômes de dépression ou d’anxiété (ou les deux) au cours des 12 mois précédents (en date de juillet 2020).
Parmi les 13 900 jeunes ayant indiqué avoir besoin d’aide pour un problème de santé mentale, 3 900 ont déclaré ne pas avoir obtenu l’aide nécessaire. Encore parmi eux, 7 jeunes sur 10 se sentaient mal à l’aise de demander de l’aide et 2 sur 10 ont déclaré ne pas savoir où aller pour obtenir de l’aide.
Lorsque les services de soutien communautaire et les services de soins de santé appropriés sont en place, les personnes aux prises avec des problèmes de santé mentale peuvent en gérer les effets dans leur vie, ce qui leur permet de contribuer à leur communauté, d’exercer un travail productif, de nourrir des relations enrichissantes et de faire face aux stress ordinaires de la vie.
En collaborant à l’échelle communautaire, nous pouvons nous attaquer aux causes profondes des problèmes de santé mentale et opérer un changement positif dans le centre du Nouveau-Brunswick.
Centraide croit que nous avons tous de quoi offrir à nos communautés. Quand nous souffrons, nous perdons notre sentiment d’attachement aux autres et sommes incapables de contribuer de façon utile. On sait que la santé mentale est tout aussi importante que la santé physique, et que les communautés en santé sont des endroits où il fait beau et bon vivre.
Centraide appuie les programmes, les services et les initiatives qui procurent aux personnes souffrant de problèmes de santé mentale des services d’urgence, d’intervention en cas de crise, de counseling et de proximité, ainsi que des façons enrichissantes de contribuer à leur communauté et d’y trouver un sentiment d’appartenance.
En 2019, les donateurs de Centraide ont aidé 18 542 personnes aux prises avec des problèmes de santé mentale.
Avec votre aide, nous pouvons faire en sorte que face aux problèmes de santé mentale, nous ne soyons #JAMAISINDIFFÉRENTS.
Selon Statistique Canada, en 2018, 10,3 % des Néo-Brunswickois âgés de 18 à 34 ans et 9,7 % des Néo-Brunswickois âgés de 50 à 64 ans ont déclaré avoir une santé mentale passable ou mauvaise.
Au Nouveau-Brunswick, la moitié des jeunes de la 6e à la 12e année ont montré des symptômes de dépression ou d’anxiété (ou les deux) au cours des 12 mois précédents (en date de juillet 2020).
Parmi les 13 900 jeunes ayant indiqué avoir besoin d’aide pour un problème de santé mentale, 3 900 ont déclaré ne pas avoir obtenu l’aide nécessaire. Encore parmi eux, 7 jeunes sur 10 se sentaient mal à l’aise de demander de l’aide et 2 sur 10 ont déclaré ne pas savoir où aller pour obtenir de l’aide.
Lorsque les services de soutien communautaire et les services de soins de santé appropriés sont en place, les personnes aux prises avec des problèmes de santé mentale peuvent en gérer les effets dans leur vie, ce qui leur permet de contribuer à leur communauté, d’exercer un travail productif, de nourrir des relations enrichissantes et de faire face aux stress ordinaires de la vie.
En collaborant à l’échelle communautaire, nous pouvons nous attaquer aux causes profondes des problèmes de santé mentale et opérer un changement positif dans le centre du Nouveau-Brunswick.
Centraide croit que nous avons tous de quoi offrir à nos communautés. Quand nous souffrons, nous perdons notre sentiment d’attachement aux autres et sommes incapables de contribuer de façon utile. On sait que la santé mentale est tout aussi importante que la santé physique, et que les communautés en santé sont des endroits où il fait beau et bon vivre.
Centraide appuie les programmes, les services et les initiatives qui procurent aux personnes souffrant de problèmes de santé mentale des services d’urgence, d’intervention en cas de crise, de counseling et de proximité, ainsi que des façons enrichissantes de contribuer à leur communauté et d’y trouver un sentiment d’appartenance.
En 2019, les donateurs de Centraide ont aidé 18 542 personnes aux prises avec des problèmes de santé mentale.
Avec votre aide, nous pouvons faire en sorte que face aux problèmes de santé mentale, nous ne soyons #JAMAISINDIFFÉRENTS.
Quand elles ont du mal à combler leurs besoins de base, les personnes pauvres ont rarement la possibilité de profiter de la vie ou de se concentrer sur d’autres aspects comme les loisirs ou l’engagement civique.
Certains Néo-Brunswickois sont plus à risque que d’autres pour la pauvreté à cause des écarts salariaux systémiques. Les personnes handicapées, les Autochtones et les mères seules ne sont que quelques-uns des groupes sociaux qui risquent d’être sous-payés pour leur travail.
Dans la région de Fredericton et de la vallée de la rivière Saint-Jean, 16,7 % des gens vivent dans un ménage à faible revenu, ce qui signifie qu’ils sont plus susceptibles de souffrir d’insécurité alimentaire. En effet, 7,9 % des résidents de cette région vivent en situation d’insécurité alimentaire modérée à grave et ne savent peut-être pas d’où viendra leur prochain repas.
Le taux d’emploi dans la région de Fredericton et de la vallée de la rivière Saint-Jean est de 56,9 %, ce qui signifie que 44,1 % des personnes âgées de 15 à 64 ans dans cette région sont sans emploi. Le chômage peut faire hausser le taux de pauvreté, car les ménages dont le principal pourvoyeur est sans emploi n’ont pas un revenu aussi stable que les autres ménages.
Quand les besoins de base de tous sont comblés, les gens peuvent se concerter pour former des communautés dynamiques et florissantes. Les familles et les personnes qui vivent sans pauvreté peuvent davantage se concentrer sur la contribution et les améliorations qu’elles peuvent apporter à leur communauté. Qu’il s’agisse de réduire l’écart salarial, d’assurer un revenu de base ou de garantir un salaire suffisant, il est possible de créer un avenir sans pauvreté.
En collaborant à l’échelle communautaire, nous pouvons nous attaquer aux causes profondes de la pauvreté et opérer un changement positif dans le centre du Nouveau-Brunswick.
Centraide croit que nos communautés peuvent mieux s’épanouir lorsque les besoins de base de tous sont comblés. La pauvreté peut étouffer la vie et empêcher les gens de faire autre chose qu’essayer de survivre. Donner aux gens la possibilité de vivre sans pauvreté, c’est assurer que les besoins de base de tous sont comblés et que chacun peut profiter de la vie en tant que membre investi dans sa communauté.
Centraide appuie les programmes, les services et les initiatives qui offrent des services d’alphabétisation, de formation professionnelle, d’appui à la santé et d’aide au logement pour les personnes qui vivent dans la pauvreté.
En 2019, les donateurs de Centraide ont aidé 9 639 personnes touchées par la pauvreté.
Avec votre aide, nous pouvons faire en sorte que face à la pauvreté, nous ne soyons #JAMAISINDIFFÉRENTS.
Certains Néo-Brunswickois sont plus à risque que d’autres pour la pauvreté à cause des écarts salariaux systémiques. Les personnes handicapées, les Autochtones et les mères seules ne sont que quelques-uns des groupes sociaux qui risquent d’être sous-payés pour leur travail.
Dans la région de Fredericton et de la vallée de la rivière Saint-Jean, 16,7 % des gens vivent dans un ménage à faible revenu, ce qui signifie qu’ils sont plus susceptibles de souffrir d’insécurité alimentaire. En effet, 7,9 % des résidents de cette région vivent en situation d’insécurité alimentaire modérée à grave et ne savent peut-être pas d’où viendra leur prochain repas.
Le taux d’emploi dans la région de Fredericton et de la vallée de la rivière Saint-Jean est de 56,9 %, ce qui signifie que 44,1 % des personnes âgées de 15 à 64 ans dans cette région sont sans emploi. Le chômage peut faire hausser le taux de pauvreté, car les ménages dont le principal pourvoyeur est sans emploi n’ont pas un revenu aussi stable que les autres ménages.
Quand les besoins de base de tous sont comblés, les gens peuvent se concerter pour former des communautés dynamiques et florissantes. Les familles et les personnes qui vivent sans pauvreté peuvent davantage se concentrer sur la contribution et les améliorations qu’elles peuvent apporter à leur communauté. Qu’il s’agisse de réduire l’écart salarial, d’assurer un revenu de base ou de garantir un salaire suffisant, il est possible de créer un avenir sans pauvreté.
En collaborant à l’échelle communautaire, nous pouvons nous attaquer aux causes profondes de la pauvreté et opérer un changement positif dans le centre du Nouveau-Brunswick.
Centraide croit que nos communautés peuvent mieux s’épanouir lorsque les besoins de base de tous sont comblés. La pauvreté peut étouffer la vie et empêcher les gens de faire autre chose qu’essayer de survivre. Donner aux gens la possibilité de vivre sans pauvreté, c’est assurer que les besoins de base de tous sont comblés et que chacun peut profiter de la vie en tant que membre investi dans sa communauté.
Centraide appuie les programmes, les services et les initiatives qui offrent des services d’alphabétisation, de formation professionnelle, d’appui à la santé et d’aide au logement pour les personnes qui vivent dans la pauvreté.
En 2019, les donateurs de Centraide ont aidé 9 639 personnes touchées par la pauvreté.
Avec votre aide, nous pouvons faire en sorte que face à la pauvreté, nous ne soyons #JAMAISINDIFFÉRENTS.
385, rue Wilsey, bureau 1A
Fredericton (N.-B.) E3B 5N6
office@unitedwaycentral.com
506-459-7773
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Fredericton (N.-B.) E3B 5N6
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